mardi, juin 14, 2005
dimanche, juin 12, 2005
HEUREUX
dimanche 12 juin 2005-10h48: je me prépare à aller au bureau. Flash spécial. Florence et Hussein sont libres! Je ne comprends pas tout de suite. Je mets quelques secondes à réaliser, mon coeur se met à battre à toute allure, comme quand je vais rencontrer quelqu'un qui m'est cher mais que je vois rarement. Et puis les larmes me montent aux yeux. La seule chose que je puisse dire: "c'est pas vrai, c'est pas vrai,...". Je ne sais même pas pourquoi je dis cela, car pendant 158 jours, je n'ai jamais perdu l'espoir.
En résumé, je crois que ce dimanche 12 juin, je peux dire que j'ai la sensation d'être heureux. Cette sensation est d'ordinaire difficile à définir et se fait souvent -en tous les cas pour a postériori. Mais là, je peux le dire immédiatement: aujourd'hui je suis heureux.
Bienvenue à Florence et Hussein parmi nous, à nouveau.
Malik
En résumé, je crois que ce dimanche 12 juin, je peux dire que j'ai la sensation d'être heureux. Cette sensation est d'ordinaire difficile à définir et se fait souvent -en tous les cas pour a postériori. Mais là, je peux le dire immédiatement: aujourd'hui je suis heureux.
Bienvenue à Florence et Hussein parmi nous, à nouveau.
Malik
lundi, mai 23, 2005
«Que le mot "libération" puisse résoner en écho jusqu'à leur geôle»
Initiatives
A Cannes, les frères Jean-Pierre et Luc Dardenne ont dédié à Florence et Hussein leur Palme d'or (lire en page 32). «Peut-être parce que le festival est diffusé dans le monde entier et que cela leur donnera de l'espoir», a précisé Jean-Pierre Dardenne. Par ailleurs, le comité de soutien remercie la SACD (Société des auteurs et compositeurs dramatiques) et la direction des affaires culturelles de Cannes qui ont contribué à de nombreuses signatures de pétition.
Solidarité des cinéastes italiens aussi :
Roberto Benigni et Nicoletta Braschi, Bernardo Bertolucci, Giuseppe Bertolucci, Marco Tullio Giordana, Paolo et Vittorio Taviani ainsi que Marco Risi et Francesca D'Ajola ont signé le texte suivant :
«Au lendemain du 5 janvier, Giuliana Sgrena s'était émue et nous avait émus en parlant de l'enlèvement de Florence Aubenas et de Hussein Hanoun. Sans se douter qu'elle allait bientôt subir le même sort que sa collègue et que leurs portraits géants allaient se côtoyer pendant plusieurs semaines dans le centre de Rome. Du moins jusqu'au retour de la journaliste du Manifesto, en dépit de la tragique "bavure" que l'on sait. C'est pourquoi nous tenons à exprimer ce soir notre solidarité avec tous ceux qui s'inquiètent du sort de Florence Aubenas, d'Hussein Hanoun et des autres otages dont nous demeurons sans nouvelles, partis courageusement au feu pour être nos yeux et nos oreilles, et donner la parole aux victimes anonymes de la folie des hommes. «Assenza, più acuta presenza», comme dit le poète... A travers leur absence, chaque jour, chaque minute, chaque seconde qui passe ne fait que renforcer leur présence dans nos coeurs et dans nos esprits.
Le hasard veut qu'aujourd'hui, 25 avril 2005, l'Italie commémore le
60e anniversaire de sa Libération. Que ce mot, qui est également le nom du journal pour lequel travaillent Florence et Hussein, puisse résoner en écho jusqu'à leur geôle, tel un signe de bon augure.»
RMC Moyen-Orient diffuse chaque jour un message d'une personnalité du monde arabe. Aujourd'hui :
Samih el-Qassem poète palestinien :
Frères et soeurs d'Irak/
Des cimes de la Galilée, je vous parle/
Vous savez qu'avec Vous est mon coeur/
Et ma plume Vous sert/
Contre l'occupant et l'oppresseur/
De Guantanamo jusqu'à Abou-Gharib/
La fin ne justifie pas les moyens/
Et les causes justes honnissent les moyens fallacieux/
Enlever des journalistes plonge la Vérité/
Dans l'obscurité de l'injustice/
Et n'illumine point la Justice/
Par la Lumière de la Connaissance/
Très chers amis/
Libérez Florence et Hussein/
Maltraiter les journalistes est une action diabolique/
Bannissez- le/
Aidez l'Opinion Publique à soutenir/
Votre si noble et juste combat/
Libérez- la, libérez- le, libérez-les tous/
Et avec Vous mon coeur bat.
A Paris, ce lundi, une nouvelle réunion des directeurs de la rédaction de médias aura lieu au Nouvel Observateur.
Le théâtre Simone-Signoret de Conflans-Sainte-Honorine (78) a consacré, samedi, une soirée à la liberté de la presse, en solidarité avec Florence et Hussein. Lors de la table ronde «l'information en danger», animée par Annette Ardisson de France Inter, quatre journalistes, réfugiés politiques, ont témoigné. Noël Copin, président d'honneur de Reporters sans frontières et médiateur à RFI, a présenté le rapport annuel de RSF sur les atteintes à la liberté de la presse.
A Louvigny (14), le Festival Ekletik qui s'est tenu ce week-end a été dédié à Florence et Hussein.
A Toulouse (31), le collectif d'artistes Mix'Art Myrys, en quittant son squatt de la rue de Metz, a organisé une dernière fête «avant légalisation», dédiée à Florence, qui leur a rendu visite en 2002, et à Hussein : «Pour leur retour rapide, parce qu'ils sont partis pour nous.»
A Cannes, les frères Jean-Pierre et Luc Dardenne ont dédié à Florence et Hussein leur Palme d'or (lire en page 32). «Peut-être parce que le festival est diffusé dans le monde entier et que cela leur donnera de l'espoir», a précisé Jean-Pierre Dardenne. Par ailleurs, le comité de soutien remercie la SACD (Société des auteurs et compositeurs dramatiques) et la direction des affaires culturelles de Cannes qui ont contribué à de nombreuses signatures de pétition.
Solidarité des cinéastes italiens aussi :
Roberto Benigni et Nicoletta Braschi, Bernardo Bertolucci, Giuseppe Bertolucci, Marco Tullio Giordana, Paolo et Vittorio Taviani ainsi que Marco Risi et Francesca D'Ajola ont signé le texte suivant :
«Au lendemain du 5 janvier, Giuliana Sgrena s'était émue et nous avait émus en parlant de l'enlèvement de Florence Aubenas et de Hussein Hanoun. Sans se douter qu'elle allait bientôt subir le même sort que sa collègue et que leurs portraits géants allaient se côtoyer pendant plusieurs semaines dans le centre de Rome. Du moins jusqu'au retour de la journaliste du Manifesto, en dépit de la tragique "bavure" que l'on sait. C'est pourquoi nous tenons à exprimer ce soir notre solidarité avec tous ceux qui s'inquiètent du sort de Florence Aubenas, d'Hussein Hanoun et des autres otages dont nous demeurons sans nouvelles, partis courageusement au feu pour être nos yeux et nos oreilles, et donner la parole aux victimes anonymes de la folie des hommes. «Assenza, più acuta presenza», comme dit le poète... A travers leur absence, chaque jour, chaque minute, chaque seconde qui passe ne fait que renforcer leur présence dans nos coeurs et dans nos esprits.
Le hasard veut qu'aujourd'hui, 25 avril 2005, l'Italie commémore le
60e anniversaire de sa Libération. Que ce mot, qui est également le nom du journal pour lequel travaillent Florence et Hussein, puisse résoner en écho jusqu'à leur geôle, tel un signe de bon augure.»
RMC Moyen-Orient diffuse chaque jour un message d'une personnalité du monde arabe. Aujourd'hui :
Samih el-Qassem poète palestinien :
Frères et soeurs d'Irak/
Des cimes de la Galilée, je vous parle/
Vous savez qu'avec Vous est mon coeur/
Et ma plume Vous sert/
Contre l'occupant et l'oppresseur/
De Guantanamo jusqu'à Abou-Gharib/
La fin ne justifie pas les moyens/
Et les causes justes honnissent les moyens fallacieux/
Enlever des journalistes plonge la Vérité/
Dans l'obscurité de l'injustice/
Et n'illumine point la Justice/
Par la Lumière de la Connaissance/
Très chers amis/
Libérez Florence et Hussein/
Maltraiter les journalistes est une action diabolique/
Bannissez- le/
Aidez l'Opinion Publique à soutenir/
Votre si noble et juste combat/
Libérez- la, libérez- le, libérez-les tous/
Et avec Vous mon coeur bat.
A Paris, ce lundi, une nouvelle réunion des directeurs de la rédaction de médias aura lieu au Nouvel Observateur.
Le théâtre Simone-Signoret de Conflans-Sainte-Honorine (78) a consacré, samedi, une soirée à la liberté de la presse, en solidarité avec Florence et Hussein. Lors de la table ronde «l'information en danger», animée par Annette Ardisson de France Inter, quatre journalistes, réfugiés politiques, ont témoigné. Noël Copin, président d'honneur de Reporters sans frontières et médiateur à RFI, a présenté le rapport annuel de RSF sur les atteintes à la liberté de la presse.
A Louvigny (14), le Festival Ekletik qui s'est tenu ce week-end a été dédié à Florence et Hussein.
A Toulouse (31), le collectif d'artistes Mix'Art Myrys, en quittant son squatt de la rue de Metz, a organisé une dernière fête «avant légalisation», dédiée à Florence, qui leur a rendu visite en 2002, et à Hussein : «Pour leur retour rapide, parce qu'ils sont partis pour nous.»
dimanche, mai 22, 2005
Les trois journalistes roumains otages en Irak ont été libérés
BUCAREST - Les trois journalistes roumains et leur traducteur enlevés en Irak le 28 mars dernier ont été libérés et confiés aux autorités roumaines, a annoncé Bucarest dimanche.
"L'opération de libération a été entièrement menée par les services secrets roumains, qui ont très bien coopéré", a déclaré le président roumain Traian Basescu à la presse, sans donner plus de détails. "Ils arriveront demain à Bucarest à bord d'un avion militaire qui les ramènera de Bagdad."
Leurs ravisseurs avaient menacé de les tuer si la Roumanie ne retirait pas ses 800 soldats stationnés en Irak, une exigence à laquelle Bucarest avait catégoriquement refusé de céder malgré l'expiration, le 27 avril, d'un ultimatum.
La reporter de télévision Marie Jeanne Ion, le cameraman Sorin Miscoci et le journaliste Ovidiu Ohanesian, du quotidien Romania Libera, étaient apparus dans un document vidéo, assis par terre, pieds nus et apparemment menottés. Des hommes masqués se tenaient à côté d'eux.
DES DIZAINES D'ETRANGERS TOUJOURS RETENUS EN OTAGES
La vidéo présentait les ravisseurs comme un groupe jusque-là inconnu, les "Escadrons Mou'adh bin Djebel", dont le nom renvoie à une figure de l'histoire ancienne de l'islam.
Le document montrait aussi deux hommes qui braquaient des armes sur la tête d'un quatrième otage, Mohamad Mounaf, le traducteur des journalistes, qui possède les nationalités américaine, roumaine et irakienne.
La présidence roumaine avait indiqué précédemment que les autorités étaient en contact avec les ravisseurs et faisaient tout leur possible pour obtenir la libération des otages.
"C'est une grande joie. Nous n'avons cessé de prier pour la libération de nos enfants depuis leur enlèvement il y a 53 jours", a déclaré Vasile Ion, le père de Marie Jeanne.
"Je suis heureuse et je pleure. Dieu nous a aidés à mettre fin à ce cauchemar", a pour sa part affirmé Elena Miscoci, la mère de Sorin.
La France, qui cherche toujours à obtenir la libération de lajournaliste Florence Aubenas, détenue depuis le 5 janvier, a également salué la fin de la détention des otages roumains.
"Nous sommes très sincèrement heureux de la libération des trois journalistes roumains et de leur guide irakien", a écrit le ministre des Affaires étrangères Michel Barnier dans un communiqué. "C'est une joie pour les familles et pour les autorités roumaines et nous partageons cette joie avec eux."
Plusieurs dizaines d'étrangers sont toujours retenus en otages en Irak.
Des rebelles détiennent également l'ingénieur australien Douglas Wood et ont menacé de l'exécuter si Canberra ne retirait pas ses troupes d'Irak. Leur ultimatum a expiré, mais on ne dispose d'aucune nouvelle sur le sort de Wood.
Le Japonais Akihiko Saito, consultant d'une société britannique, a été enlevé la semaine dernière par l'Armée d'Ansar al Sounna, l'un des principaux groupes de la guérilla irakienne.
"L'opération de libération a été entièrement menée par les services secrets roumains, qui ont très bien coopéré", a déclaré le président roumain Traian Basescu à la presse, sans donner plus de détails. "Ils arriveront demain à Bucarest à bord d'un avion militaire qui les ramènera de Bagdad."
Leurs ravisseurs avaient menacé de les tuer si la Roumanie ne retirait pas ses 800 soldats stationnés en Irak, une exigence à laquelle Bucarest avait catégoriquement refusé de céder malgré l'expiration, le 27 avril, d'un ultimatum.
La reporter de télévision Marie Jeanne Ion, le cameraman Sorin Miscoci et le journaliste Ovidiu Ohanesian, du quotidien Romania Libera, étaient apparus dans un document vidéo, assis par terre, pieds nus et apparemment menottés. Des hommes masqués se tenaient à côté d'eux.
DES DIZAINES D'ETRANGERS TOUJOURS RETENUS EN OTAGES
La vidéo présentait les ravisseurs comme un groupe jusque-là inconnu, les "Escadrons Mou'adh bin Djebel", dont le nom renvoie à une figure de l'histoire ancienne de l'islam.
Le document montrait aussi deux hommes qui braquaient des armes sur la tête d'un quatrième otage, Mohamad Mounaf, le traducteur des journalistes, qui possède les nationalités américaine, roumaine et irakienne.
La présidence roumaine avait indiqué précédemment que les autorités étaient en contact avec les ravisseurs et faisaient tout leur possible pour obtenir la libération des otages.
"C'est une grande joie. Nous n'avons cessé de prier pour la libération de nos enfants depuis leur enlèvement il y a 53 jours", a déclaré Vasile Ion, le père de Marie Jeanne.
"Je suis heureuse et je pleure. Dieu nous a aidés à mettre fin à ce cauchemar", a pour sa part affirmé Elena Miscoci, la mère de Sorin.
La France, qui cherche toujours à obtenir la libération de lajournaliste Florence Aubenas, détenue depuis le 5 janvier, a également salué la fin de la détention des otages roumains.
"Nous sommes très sincèrement heureux de la libération des trois journalistes roumains et de leur guide irakien", a écrit le ministre des Affaires étrangères Michel Barnier dans un communiqué. "C'est une joie pour les familles et pour les autorités roumaines et nous partageons cette joie avec eux."
Plusieurs dizaines d'étrangers sont toujours retenus en otages en Irak.
Des rebelles détiennent également l'ingénieur australien Douglas Wood et ont menacé de l'exécuter si Canberra ne retirait pas ses troupes d'Irak. Leur ultimatum a expiré, mais on ne dispose d'aucune nouvelle sur le sort de Wood.
Le Japonais Akihiko Saito, consultant d'une société britannique, a été enlevé la semaine dernière par l'Armée d'Ansar al Sounna, l'un des principaux groupes de la guérilla irakienne.
mercredi, mai 18, 2005
PARIS, 18 mai 2005 (AFP) - Une nouvelle réunion des directeurs de la rédaction de médias aura lieu au siège du Nouvel Observateur lundi 23 mai pour évoquer le sort de la journaliste Florence Aubenas et de son guide irakien Hussein Hanoun, enlevés le 5 janvier à Bagdad, a-t-on appris mercredi de source proche de la direction de Libération.
A l'avant-veille du 140ème jour de captivité, il s'agira pour les directeurs de rédactions de médias français (agences, presse écrite, audiovisuelle) de réfléchir à "des moyens concrets et utiles pour maintenir la mobilisation sur la durée".
Serge July, directeur du quotidien, fera le point sur son récent voyage à Amman (Jordanie), où il a rencontré avec Robert Ménard, secrétaire général de Reporters sans frontières, les médias du monde arabe.
Depuis la disparition, le 5 janvier, de Florence Aubenas et Hussein Hanoun Al-Saadi, les directeurs de rédaction se sont réunis à quatre reprises (24 janvier à Libération, 7 février au CAPE, 7 mars à France Télévisions, 11 avril à TF1), pour réfléchir ensemble à la façon de travailler en Irak et à des actions communes pour obtenir la libération des otages.
Par ailleurs, les directeurs de rédaction ont déjà été reçus à trois reprises à l'Hôtel Matignon par le Premier ministre Jean-Pierre Raffarin, les 16 février, 17 mars et 3 mai.
A l'avant-veille du 140ème jour de captivité, il s'agira pour les directeurs de rédactions de médias français (agences, presse écrite, audiovisuelle) de réfléchir à "des moyens concrets et utiles pour maintenir la mobilisation sur la durée".
Serge July, directeur du quotidien, fera le point sur son récent voyage à Amman (Jordanie), où il a rencontré avec Robert Ménard, secrétaire général de Reporters sans frontières, les médias du monde arabe.
Depuis la disparition, le 5 janvier, de Florence Aubenas et Hussein Hanoun Al-Saadi, les directeurs de rédaction se sont réunis à quatre reprises (24 janvier à Libération, 7 février au CAPE, 7 mars à France Télévisions, 11 avril à TF1), pour réfléchir ensemble à la façon de travailler en Irak et à des actions communes pour obtenir la libération des otages.
Par ailleurs, les directeurs de rédaction ont déjà été reçus à trois reprises à l'Hôtel Matignon par le Premier ministre Jean-Pierre Raffarin, les 16 février, 17 mars et 3 mai.
samedi, mars 19, 2005
JE JEUNE POUR FLORENCE
Nous appelons toutes les personnes désireuses de faire acte de solidarité à observer chaque jeudi un jeune oecuménique d'interpellation. Ce jeûne de vingt-quatre heures, d'une demi-journée ou de quelques heures selon la capacité des uns et des autres, est d'abord destiné à interpeller les ravisseurs de Florence et Hussein et à exiger la libération immédiate de ces deux femmes et de cet homme qui n'ont que trop souffert de leur détention. Ce jeûne interpelle aussi les pouvoirs publics et leur demande de tout mettre en oeuvre pour que Florence et Hussein retrouvent au plus vite leurs foyers.
Contact : jeune_interpellation@yahoo.fr
Contact : jeune_interpellation@yahoo.fr
jeudi, mars 17, 2005
Vendredi 18 mars, Paris en rollers pour les otages en Irak
le vendredi 18 mars, la grande randonnée parisienne en rollers sera dédiée à Florence Aubenas et Hussein Hanoun al-Saadi.
«Libération» et Reporters sans frontières donnent rendez-vous à tous les amateurs de roller, vendredi 18 mars à 22 heures, devant la gare Montparnasse.
La mobilisation est plus que jamais nécessaire. Nous appelon les Parisiennes et les Parisiens à descendre très nombreux dans la rue à cette occasion.
Un T-shirt, réalisé spécialement pour ce rassemblement, sera distribué au départ de la randonnée. Le message «Ils sont partis pour nous, ils rentreront grâce à nous» impliquera l'ensemble des participants.
«Libération» et Reporters sans frontières donnent rendez-vous à tous les amateurs de roller, vendredi 18 mars à 22 heures, devant la gare Montparnasse.
La mobilisation est plus que jamais nécessaire. Nous appelon les Parisiennes et les Parisiens à descendre très nombreux dans la rue à cette occasion.
Un T-shirt, réalisé spécialement pour ce rassemblement, sera distribué au départ de la randonnée. Le message «Ils sont partis pour nous, ils rentreront grâce à nous» impliquera l'ensemble des participants.